samedi 12 août 2017

Road-trip 6 : Viva Espana !


Nous avons quitté la France le dimanche 10 août pour le début d'un périple de 28 jours aux 4 coins de l'Espagne !

Notre itinéraire : 



Dimanche 10 août :

Nous avons quitté notre région Rhône-Alpes à destination de Barcelone ! Nous avons atteint notre premier camping en fin d'après-midi, et nous avons eu de la chance d'avoir une place, en effet en allant nous promener aux alentours le soir, nous avons vu qu’un panneau « complet », qui n’était pas là à notre arrivée, venait d’être accroché ! Nous avons planté la tente pour 3 nuitées.
Notre camping est situé à la périphérie de Barcelone, à 200 mètres d’un arrêt de bus desservant le centre de la capitale catalane.




Lundi 11 août :



Nous avons pris le bus tôt le matin, car nous avions beaucoup de choses à voir en une journée ! Nous avons mis 40 minutes pour rejoindre Barcelone, et là nous avons encore pris le métro. Nous avons été nous promener dans le grand marché de la Boqueria, afin de glaner quelques fruits et légumes frais pour notre pique-nique. C’est là que nous avons vu nos premières Pitayas (fruits du dragon en Espagnol). Le marché était une immense place où l’agitation ne cessait pas une minute, on croyait pénétrer dans une fourmilière !



Les marchands s’affairaient sans cesse, et les clients affluaient par marées titanesques ! Déambuler dans les allées du couvert du marché était très pittoresque et dépaysant, nous avons beaucoup apprécié les milles et une couleurs et les milles et une senteurs que nous découvrions à chaque pas. Nous somme repartit du marché encore embaumé des effluves des fruits exotiques, et avec des fruits frais dans nos sac à dos, qui contribuaient à prolonger l’ambiance de la Boqueria.



Nous nous sommes ensuite dirigé vers ce célèbre prodige de l’architecture qu’est la Sagrada Familia, dessinée de main de maître par l’architecte Antoni Gaudi. Au pied du célèbre édifice, nous nous sommes sentis très petits ! Nous voulions la visiter, mais comme tous les monuments très touristiques, la queue titanesque pour l’entrée nous à découragé, il nous aurait fallu réserver les billets à l’avance, ce que nous n’aimons guère avec notre mode de voyage plutôt libre, où nous élaborons la suite à mesure que nous avançons. 



Donc gros point noir : trop de touristes, mais également les travaux de rénovation de la cathédrale, qui gâchent la splendeur de l’édifice. Après un déjeuner sur le pouce avec des fruits succulents et quelques morceaux de charcuterie, nous avons été visité la fameuse Casa Mila, d’architecture signée Gaudi encore une fois. 


 
Et… encore une fois la queue, mais plus abordable à cette heure de l’après-midi, et si point de queue, point de salut pour cette visite, nous avons donc patienté. Lorsque nous avons pu entrer, nous avons commencé par les toits, et là encore, nous avons retrouvés le fantastique univers de Gaudi. Nous avons passé plus d’une heure à déambuler sur le toit, goûtant au plaisir d’admirer chacune des sculptures, et chaque fragment de mozaïque. Nous avons poursuivi la visite par l’intérieur de la Casa Mila, qui retraçait l’histoire des habitants de cet immeuble commandé à l’époque par le Père Mila.





Nous avons terminé notre journée par une ballade dans Barcelone, en passant par la cathédrale gothique de Sainte-Croix, et un retour dans le quartier Gracia, autour de la Sagrada Familia. C’est éreintés que nous avons repris le bus pour le camping.

Mardi 12 août :



La nuit n’a guère été reposante, car des fourmis ont investi (on ne sait absolument pas comment, et c’est sans doute le pire !) notre campervan. Si ce n’était rien d’autre que nos fourmis Françaises, pas de quoi en faire un plat pour des campeurs chevronnés comme nous, mais celles-ci mordaient ! Nous avons tous été mordus toute la nuit ! D’humeur mitigée, nous avons également constaté que dans notre camping immense et bien rempli (avec exclusivement des espagnols et quelques allemands), le nettoyage des sanitaires laissait cruellement à désirer, sans compter que les espagnols ne sont pas de nature propre, et nous avons admirer des espagnoles quitter leur douches en laissant serviettes hygiéniques, rasoir et tampons derrières elles, sans gêne aucune. Nous avons vite déjeuné et rejoint l’arrêt de bus à nouveau.



De nouveau dans le centre de Barcelone, nous avons pris le métro à destination du Parc Güell. Sur place, nous avons pris un billet pour une visite à 14h, car toutes celles de la matinée étaient prises et nous n’avions, encore une fois, pas souhaité réserver. Pour les futurs voyageurs vers l’Espagne, sachez, qu’en effet, le parc Güell n’autorise pas plus de 300 entrées de visiteurs par demi-heure, afin de limiter la surpopulation.



Cependant le parc est très grand, et seul une zone très restreinte est limitée de la sorte (la plus importante bien sûr, qui contient les œuvres de Gaudi !), nous nous sommes donc promenés dans le reste du parc, où nous avons déjeuné en attendant 14h. Puis, à 13 h 30, nous étions déjà dans notre file, en attendant l’ouverture, pour être les premiers dans le parc. 



Nous avons beaucoup admiré les sculptures et les mosaïques de Gaudi qui constituaient exclusivement cette zone à accès limitée du parc. L’attente vaut vraiment le coup ! Mais gros point noir encore : même à 300 touriste par demie-heure, il y a encore trop de touristes, qui gênent les photos et ne s’en excuse pas, qui poussent, qui crient… Nous avons quand même dû faire la queue pour prendre une photo avec le célèbre lézard de Gaudi qui était LA star du parc ! C’était un peu comme essayer de voir la Joconde au Louvre…


Après la visite du Parc Güell, nous sommes partis en direction du Musée Picasso, où nous avons pu admirer des œuvres célèbres du peintre, sauf « Guernica », mais ça, ce sera pour plus tard. En revanche comme dans tous les musées espagnols, aucune photo n’est autorisée, ce qui nous a déçus !



Mercredi 13 août :




Nous avons pris la route de Valence, heureux de quitter le camping bondé de Barcelone, et nous sommes arrivés en début d’après-midi. Nous avons trouvé un petit camping calme et paisible, avec peu de monde, et nous avons mis l’après-midi à profit pour se promener le long de la plage et dans tout le parc de l’Albufera, pour profiter de la faune et de la flore locale. Nous avons bien profité du soleil et des embruns marins !





Jeudi 14 août :


Nous avons passé la journée à l’Oceanogràphic, un parc marin récemment construit à Valence, dans la cité des arts et des sciences. L’entrée était très coûteuse, mais honnêtement, cela valait le coup. Nous avons vu un spectacle de dauphin classique certes, mais nous avons pu admirer pour la première fois des Bélugas en captivité, ainsi que des morses et nombres d’autres spécimens marins. 




Evidemment les filles ont beaucoup apprécié, plus que les parents qui ont préféré l'Océanorio de Lisbonne, mais cela faisait une sortie originale qui rompait un peu avec les visites « historiques » de Barcelone. Nous avons terminé la journée par la visite du reste de la ville de Valence. Le design de la ville nous a particulièrement marqué pour son aspect futuriste ! C'était très agréable de s'y promener, sans compter qu'il n'y avait pas un endroit sans fontaine ou mare artificielle, cela nous a un peu rafraîchi !




Vendredi 15 août :


Nous avons pris la route de Grenade, et avons déjeuné dans le camping que nous avons trouvé, un petit camping, mais ayant le mérite d’avoir une piscine et des sanitaires très propres. Nous avons rencontré un camping car de Français en itinérant aussi. 




Après le déjeuner, nous avons repris le van, pour aller nous promener dans les montagnes de la Sierra Nevada. Nous avons profité du paysage, nous avons même croisé un bouquetin, et bien sur les fameuses vaches noires espagnoles, un petit aperçu de ce qui nous attend lorsque nous irons voir une corrida à Madrid.



Samedi 16 août :

Aujourd’hui, nous partons visiter le somptueux Alhambra de Grenade, et nous avons fait une petite entorse à nos principes, juste pour le visiter. En effet, il s’agit du site le plus visité en Espagne, et nous avons été obligés de réserver notre billet sur internet un mois avant notre départ pour l’Espagne, sinon, il était impossible d’avoir des billets sur place avant la semaine qui suivait le jour de notre arrivée à Grenade. A notre arrivée devant l’Alhambra, c’est l’effervescence ! Nous sommes dans un carrefour pluriculturel et plurinational ! Des gens du monde entier sont ici, et c’est très enrichissant ! Notre billet nous autorise l’entrée à 13h, nous nous promenons donc autour du site, et déjeunons à l’ombre d’un jardin.Lorsque nous avons pu pénétrer dans l’Alhambra, nous avons tout de suite été saisis par la beauté des jardins qui mènent au palais, quel carnaval de couleur et de senteurs ! 




Le site étant immense, nous avons décidé de commencer par le Palais des princes Nasrides qui nous intéressait tout particulièrement. Dans ce palais, nous avons pu admirer une architecture très détaillée -rien n’est laissé au hasard-, et très influencé par la culture marocaine.



Nous nous sommes délectés de la vue des ogives orientales, du Mexuar, au salon Palais de Comares, en terminant par la splendide cour des Lions ! Nous avons ensuite retraversé les jardins pour visiter le palais de Charles V, la médina et l’Alcazaba. Nous avons beaucoup apprécié, mais il faisait très chaud, et c’était insupportables, nous n’avions que six bouteilles pour cinq, et la visite demande des efforts, il y a beaucoup de marches à grimper ! Nous avons terminé notre visite par une promenade dans les jardins du Generalife qui nous ont là encore enchantés et surpris par leur bassin et leurs richesses floristiques !






Nous avons terminé la journée épuisé et assoiffé, mais de belles images pleins la tête, et aucun regret. Cependant, la journée n’est pas de trop pour visiter ce prestigieux site qui a donné sa célébrité à la ville de Grenade ! Nous terminé la soirée dans la piscine du camping afin de détendre nos jambes lourdes et fatiguées.

Dimanche 17 août :



Nous avons pris la route de Gibraltar, la pointe extrême de l’Espagne, depuis laquelle on peut apercevoir les côtes Marocaines. Nous sommes arrivés aux environs de 14 heures dans un camping plutôt pas mal, ni trop grand ni trop petit, avec des sanitaires assez bien entretenues, où nous avons été accueilli par un vent phénoménal ! Rien ne tenait en place, pas même nos chaises de camping ! Nous avons mangé avidement, affamés par la route, puis, nous avons laissé nos affaires au camping et repris le van pour aller visiter Gibraltar.


Les filles attendaient beaucoup de Gibraltar, grâces aux lectures sur internet, elles voulaient voir les célèbres singes de Gibraltar. Gibraltar est une petite enclave britannique à la pointe de l’Espagne, et dispose d’un important port et d’un aéroport, elle est habitée par quelques anglais et par les uniques singes sauvages d’Europe. Là-bas, c’est la livre sterling qui a cours, les plaques d'immatriculation ont pour indicatif "GBZ" et les cabines téléphoniques sont identiques à celles de Londres !





Sur les conseils d’internet, nous nous sommes garés non loin de la frontière, et l’avons franchie à pieds, et heureusement, car nous avons pu voir la file d’attente des voitures à la douane ! Après le passage de la frontière avec nos cartes d’identités, nous avons voulu acheter un plan dans une bornes de rue, et c’est ainsi que nous avons perdu 2 de nos précieuses livres, car la borne n’avait plus de plan en stock… Bon tant pis alors…



Lors de nos passages dans les rues pavées, nous avons pu voir déjà quelques singes, en haut des lampadaires, et sur les toits des maisons. Nous avons pris un bus pour rejoindre le téléphérique, et monter au sommet du célèbre rocher de Gibraltar.




Le prix du téléphérique est plus qu’exorbitant et nous n’étions pas très contents. Notre arrivée en haut du rocher était surprenante, il y avait une brume épaisse. Nous étions censée voir les côtes Marocaines depuis le haut du rocher, mais nous n’avons vu qu’un épais brouillard blanc opaque, bon tant pis… il nous reste les fameux singes. De ce côté-là, nous avons été servis, nous en avons vu de partout ! Et nous avons fait de belles photos ! Par contre, nous avons vu des camions apporter de la nourriture aux singes, qui ont alors perdu leur côté sauvage instantanément… 

Nous nous sommes renseignés, et nous avons appris qu’à l’origine les continents étaient joints à cet endroit et que les singes étaient libres, mais la séparation du Maroc et de l’Espagne a faite prisonnière à Gibraltar une population de singe qui ne trouvait plus de nourriture, et a commencé à décroître jusqu’à ce que les habitants décident de lui prodiguer de la nourriture. 





Nous avons voulu profiter de la culture britannique des lieux en achetant un Fish & chips, mais dès 17 heures tout est fermé. En bref, nous sommes repartis déçus de Gibraltar, des singes nourris, une côte marocaine invisible, un téléphérique hors de prix, des commerçants qui ne rendent pas la monnaie sur les livres et des distributeurs de cartes vides. Notre seul beau souvenir sera la vue du rocher de Gibraltar qui en impose vraiment. Si nous pouvons donner un conseil aux futur voyageurs, c’est de passer tout de même faire un détour à Gibraltar, pour l’originalité des lieux, mais d’y aller par beau temps, et pas un dimanche !

Lundi 18 août  :

Avant de quitter notre camping nous avons profité de notre proximité avec le continent Africain, qui se trouvait à seulement 15km de nous pour faire des photos amusantes. 



Nous avons ensuite pris la direction de l’Andalousie pour aller visiter Séville. Nous nous sommes promenés aux alentours de la cathédrale de Séville, et nous avons visité l’alcazar et ses jardins, ce qui nous a beaucoup plu.



Mardi 19 août :


Nous avons pris la route de Cordoue tôt le matin, afin de pouvoir visiter l’après-midi. Nous sommes arrivés dans la matinée et avons mangé dans notre camping, avant de reprendre le van pour aller visiter la ville.






Nous avons visité la grande Mosquée-cathédrale de Cordoue, où nous avons longtemps admiré les hauts plafonds d’ogives colorées rouge. Nous avons terminé l’après-midi en nous promenant dans la ville, où nous avons acheté quelques douceurs rafraîchissantes.

Mercredi 20 août :

Nous avons repris la route en direction de Tolède. Là, nous avons surtout marché dans la ville, en profitant d’un climat plus léger. C’est une petite ville dont le centre historique est médiéval, et par conséquent, il faut beaucoup marcher pour explorer les ruelles et les édifices qui sont situé très en hauteur, et cerclés par des murailles. 



A l’intérieur des remparts qui bordent la cité médiévale, nous avons visité la cathédrale, qui disposait d’audio guide avec une version Anglaise.





Le soir nous avons profité de la piscine du seul et unique camping de Tolède, où nous avons délassé nos pieds fatigués par la marche de la journée.



Jeudi 21 août :


Nous avons fait route jusqu’à Madrid où nous avons posé nos affaires. Puis, après un déjeuner rapide, nous avons pris la direction d’Aranjues, où nous avons été visité le palais d’Aranjues, qui était le seul monument de réel intérêt dans la ville. 





Nous avons fait plus d’une heure de queue, mais cela en valait la peine, c’était magnifique ! Les filles ont un peu moins apprécié que nous, mais elles ont tout de même mis à profit la cour extérieure pour quelques belles photos.



Vendredi 22 août :



Après notre petit déjeuner, nous avons pris un car qui dessert le centre de Madrid non loin de notre camping, et nous avons visité la ville. Nous sommes arrivés à Madrid après 40 minutes de trajet. Nous nous sommes promenés dans les rues, et nous sommes passés devant les arènes de Madrid où nous avons réservé des billets pour assister à une corrida dans la soirée du 24 août. 




Nous avons surtout fait du repérage pour les stations de métro et les accès aux différents sites. Nous sommes rentrés assez tôt au camping pour profiter un peu de la piscine et surtout faire une machine à laver !



Samedi 23 août :



Nous sommes partis assez tard ce matin, et nous avons repris le car pour Madrid afin d’aller visiter le musée de la Reine Sofia, où est exposé le célèbre Guernica de Pablo Picasso. Le musée était immense, et la visite longue, les filles n’ont pas trop apprécié, excepté la vue de Guernica évidemment. Grosse déception encore, les photos étaient interdites ! Curieux quand on pense que même la Joconde n’est pas interdite aux photos (seulement aux flashs, faut quand même pas pousser !).



Dimanche 24 août :



Nous avons repris le car pour Madrid, et nous sommes allés nous promener dans le grand parc du Retiro, où nous avons vu le Palais de Cristal, et où nous avons déjeuné à l’ombre. Nous nous sommes promenés pour terminer la journée, et nous avons mangé dans les gradins des arènes de Madrid en attendant le spectacle. 

Nous avons vu concourir 6 taureaux. Les filles souhaitaient voir une corrida, en dépit de leur opinion sur ce genre de pratique. En effet, ici, il s’agit d’un sport national, mais il n’est pas autorisé dans toutes les régions de l’Espagne, ainsi la catalogne l’a interdit mais Madrid l'autorise.




Le spectacle valait le coup, c’est une chose qu’il faut avoir vu dans sa vie au moins une fois. Dans une corrida, il y a plusieurs étapes pour chaque taureau, qui se suivent toujours dans le même ordre :


-Le paseo tout d’abord, tient lieu de cérémonie d’ouverture, elle annonce le poids du taureau, et le nom du matador. Elle présente en musique, les Alguazil (policiers d’arène à cheval), les cuadrillas (5 toreros à pieds ou à cheval qui sont sous les ordres du matador ) qui comprennent deux picadors  (à cheval ) et trois peones (équipé de cape pour torérer, et qui assistent le matador)


-Le premier tercio, les picadors testent l’animal, en évaluant sa force, sa résistance, puis ils le calment et l’amène à baisser la tête.


-Le deuxième tercio, les peones et le matadors font leur entrée, et ils provoquent volontairement la charge du taureau afin de lui planter trois paires de Banderilles dans le dos, dès que l’animal baisse sa tête (en chargeant le dos devient accessible).




-le troisième tercio, il s’agit pour le matador de montrer sa bravoure, en se laissant charger par le taureau à plusieurs reprises. S’ensuit ensuite la mise à mort du taureau par une épée spéciale : la Verdugo, qui doit rompre le bulbe rachidien d’un seul coup, afin que le taureau meure sur le coup.


En dépit de tout, il n’y pas énormément de sang, et les filles ont apprécié le spectacle. Il faut dire aussi que nous avions choisi de voir des Matadors professionnels, et non des débutants, afin qu’il n’y ait pas d’agonie de l’animal à la fin du spectacle.



Lundi 25 août :

                                                                                                   


Nous avons pris la route de Ségovie, où nous avons vu les anciens Aqueduc. Nous nous sommes longuement promenés dans la ville où nous avons déjeuné dans un restaurant. Puis, l’après-midi, nous avons visité le palais de l’Escorial




Le lendemain, nous avons repris la route vers la France, où nous avons fait étape dans le Sud (coucou tonton ! ) avant de rejoindre notre région Rhône-Alpes.



Les + : 

  • La beauté des sites espagnols, toujours gais et colorés !
  • La cuisine ! On a pu goûter a une vingtaine de charcuteries différentes et les fruits et légumes étaient excellents !
  • On a adoré se promener dans le parc Guëll, et dans les rues de Barcelone.
  • On trouve des petits commerces de partout, c'est idéal pour se ravitailler et les espagnols se couchent tard, tout était ouvert en permanence sauf aux heures de sieste de l'après-midi.
Les - :
  • L'accueil en Catalogne : c'est la seule région où les espagnols n'étaient pas très accueillants.
  • La saleté systématique des sanitaires sur les sites touristiques et dans les campings, le ménage n'est pas assez fréquent au regard du nombre de touristes.
  • La chaleur : comme en Grèce, nous avons eu chaud, et l'eau fraîche ou l'ombre ne sont pas toujours très accessibles contrairement à l'Italie et au Portugal par exemple.
 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire